10.15.2011

Publication fiche d'accréditation





10.04.2011

Domaines d'apllication


Les domaines d’applications interviennent autour de deux champs :
un champs organisationnel, dont déprendront des objets usuels et des
services et un champs affectif, en lien avec les objets du quotidien,
dont l’usage est réservé à soi et qui viennent valoriser l’appropriation.
>Le projet s’appliquera à l’environnement quotidien, à l’habitat en lui
même et aux habitus, afin de faciliter les processus d’appropriation
et d’adaptation qui découlent de la décohabitation, et de permettre
une automatisation et une autogestion du décohabitant plus rapide. Il
pourra donc s’articuler autour du mobilier domestique et notamment
des arts de la table, des objets qui accompagnent le réveil, des technologies
(tel que la TV, les mobiles, l’ordinateur...)...
>Il pourra aussi s’exprimer autours d’objets usuels et dans la relation
entre habitat et extérieur. Prenons comme exemple le projet de
diplôme de DSAA promotion 2009, École Boulle de Anais Mestrot. Il
s’agit ici d’une réflexion sur les relations et les comportements par
rapport à l’argent. Elle a ainsi créé une carte de paiement, où le montant
du solde du compte se fait par lecture directe de la carte ou par
l’intermédiaire d’une jauge. Dans cet exemple, l’objet fait le lien entre
l’habitat, l’extérieur et l’individu et permet à ce dernier de s’autonomiser
et l’aide dans son autogestion.
>Enfin ce projet interviendra dans la notion de séparation, s’inscrivant
notamment dans la préparation du déménagement, processus de séparation
au foyer, et s’exprimera autour d’objets à dominante empathique,
des transports, du service vers l’acquisition d’un logement.
>Mais il interviendra aussi dans l’emménagement, avec la création de
services ou d’objets facilitant l’accès au logement d’un point de vue
financier et organisationnel. Prenons l’exemple de la startingbox proposé
par IKEA, offrant un kit complet de vaisselle pour petit prix.
>Enfin, l’application du projet se fera dans des contextes environnementaux
et de services en rapport avec la collectivité, les associations,
la vie de quartier...permettra de créer du lien social, une dynamique de
quartier, une convivialité, et la prise de conscience que l’on fait partie
‘‘d’un tout’’. J’illustrerais ce propos avec l’exemple d’un réseau social
géolocalisé récemment créé Supermarmitte.com , qui proposent
d’acheter des plats mijotés par nos voisins. Ce site internet permet
de choisir et/ou de proposer au sein d’une communauté, un repas. Ce
réseau tire partie de la richesse et de l’éclectisme gastronomique produit
quotidiennement par les particuliers. Il propose une alternative
aux solutions de restaurations rapides traditionnelles et offre un service
accessible à tous les gastronomes pressés valorisant l’idée que le
manque de temps n’est pas forcement synonyme de mal bouffe.

Enjeux et objectifs







ENJEUX


Les enjeux d’une réflexion et d’un travail sur l’accompagnement dans la décohabitation en terme de pratique de design de produits et services,
amèneraient à une amélioration de l’autonomie et de l’autogestion
de l’habitant ‘‘provisoire’’, ainsi qu’à une valorisation et création
d’une cohésion sociale entre le ‘‘nouvel habitant’’, son habitat et son
environnement extérieur qu’est le quartier.





OBJECTIFS


L’objectif premier de ce projet de synthèse sera de venir faciliter, par

l’objet et le service, le processus de décohabitation de l’individu.
>Mais au delà de ça, l’importance sera accordée à une valorisation de
l’apprentissage vers l’autonomie et l’autogestion lors de la décohabitation
juvénile et / ou des personnes en situation de divorce/séparation/
mutation. Et ce, en questionnant le mobilier, l’équipement, et les objets
du quotidien qui entourent toute personne et davantage les personnes
en situation de décohabitation dans l’ordinaire et l’infra-ordinaire, de
l’emménagement à la vie de tous les jours. À partir de cette réflexion
sur les objets du quotidien, l’objectif sera entre autre d’établir un lien
entre l’habitat et l’extérieur.
>Aussi, le but sera de faciliter le lien affectif avec l’ancien foyer et les
personnes que l’on quitte (notion d’ubiquité)
>Enfin, l’un des objectifs sera d’intégrer et insérer socialement le décohabitant
dans le quartier, afin de créer d’une part une dynamique de
quartier et une mixité sociale (centre des volontés politiques actuelles);
et d’autre part d’amener les décohabitants (habitants provisoires) à
s’impliquer davantage dans la vie associative et communautaire du
quartier, dans le but de créer un échange permettant d’accompagner
dans la décohabitation (amener a une démarche de proximité et de
partage de citoyenneté toujours plus active...)
CHAMPS CRÉATIFS


Deux champs créatifs distincts s’opéreront alors :

-Un champs s’inscrivant dans la sphère intime, entre l’habitat ancien
(celui que l’on quitte) et l’habitat nouveau (celui que l’on intégre), reflétant
des notions d’appartenance, de séparation et d’adaptation.
-Un second champs s’opère dans la sphère publique, en lien donc avec
l’environnement urbain local du décohabitant, c’est-à-dire le quartier,
et notamment au travers de la vie sociale, collective, associative
et autour des notions de partage et citoyenneté, tout en renvoyant au
concept d’intégration.

Accréditation du thème de mémoire par le jury du 15/06/11

LA DÉCOHABITATION


DÉFINITION D'UN TERME


La décohabitation est le processus qui définit le moment où des personnes formant un même foyer cessent d’habiter sous le même toit. Du jeune qui quitte le domicile familial, au scindement des familles dû aux séparations, divorces, mutations...C’est une étape symbolique qui constitue un événement décisif dans la vie des individus.Mais au delà de sa définition au sens le plus stricte, la décohabitation est aujourd’hui plus que jamais l’une des causes de la crise du logement. Les villes, les municipalités, les régions, comme la Champagne-
Ardenne ou encore la ville de Brest, s’interrogent aujourd’hui sur le
devenir des parcs de logements résidentiels privés et publics qui sont
saturés et sur les solutions à apporter. Pour preuve, un nouveau quartier, Les Capucins, répondant notamment aux demandes liées à la décohabitation devrait très prochainement émerger sur la ville de Brest,
en offrant des logements mixtes, comprenant de grandes surfaces
à des prix assez élevés et des logements de petites tailles, à faibles
loyers, accessibles aux décohabitants, tels que les étudiants, ou les
personnes seules. Cela favorisant par là même un pluralisme social
et spatial et valorisant les démarches de proximité et de partage de
citoyenneté.


Phénomène existant depuis des décennies, c’est récemment qu’il
commence à être qualifié. De nombreux constats sont faits sociologiquement parlant et ils sont souvent abordés à partir d’indicateurs statistiques. On dispose des modalités de la décohabitation, des enjeux et conséquences qu’elles répercutes sur les zones urbaines... Elle est appréhendée comme un événement ponctuel, s’inscrivant dans un processus linéaire (elle est constitutive de l’entrée dans la vie active, dans la vie adulte, dont elle représente l’une des premières étapes). Des réponses sont apportées en matière de logement et d’aménagement spatial, des questions se posent quant à l’accès des jeunes au premier logement... Mais rien n’est fait et n’a réellement été questionné au niveau de l’affect, de l’accompagnement, de la guidance (matérielle ou non) et du partage du processus progressif émotionnel, organisationnel d’un tel phénomène sur l’individu. C’est pourquoi je propose de questionner et de travailler autour de l’accompagnement dans la décohabitation, afin de servir au processus, à l’événement décisif, et au moyens d’objets, de structures, de services et de concepts, permettant de guider, aider, assister, faciliter les étapes progressives à l’habitat autonome. Cela passe d’une part par un accompagnement de l’apprentissage du décohabitant dans son nouvel habitat provisoire, et, par une perpétuation du lien affectif avec l’ancien foyer, tout en développant une cohésion sociale de partage et de citoyenneté qui aiderait le décohabitant à s’intégrer dans son nouveau quartier.













DÉCOHABITATION : APPRENDRE À VIVRE SEUL

DÉCOHABITATION CHEZ L'ADULTE

La décohabitation de l’adulte concerne les personnes en situation de
divorce, de séparation ou de mutation professionnelle. La séparation
avec le ménage d’origine est souvent difficile, et constitue une transition vers une seconde vie. Elle est essentielle et importante pour
les couples divorcés ou séparés pour repartir sur de nouvelles bases.
Mais, la décohabitation chez l’adulte est souvent liée à des craintes,
des peurs, notamment dans le réapprentissage de vivre seul. Ces
craintes portent sur ce que l’on laisse : une vie de famille, des liens
rompus, détériorés par le scindement du ménage, et sur ce que de
vivre seul entraine : se reloger, se remeubler, une réorganisation du
cadre de vie, des habitudes. Les constats sont pour beaucoup identiques à ceux fais sur la décohabitation juvénile que nous allons voir par la suite, à la différence que l’adulte a déjà une autonomie et une indépendance concrète. Il ne s’agit plus pour lui de se construire une identité... Ici, l’adulte est davantage dans une reconstruction de soi et dans une phase de réadaptation / appropriation d’un nouveau lieu.

DÉCOHABITATION JUVÉNILE

La décohabitation juvénile concerne les jeunes qui quittent le foyer
familial et donc la ‘‘structure d’accompagnement’’ pour intégrer leur
premier logement, un nouvel espace personnel. C’est une étape chargée symboliquement. Le départ constitue un événement décisif dans la vie des individus qui revêt diverses significations. Elle constitue
entre autre l’entrée dans la vie adulte et amène au départ.

POURQUOI DÉCOHABITER?
Les jeunes décohabitent pour plusieurs raisons :
-Un aspect conjoncturel : ils sont poussés au départ par des études ou un travail situé dans une autre ville
-Un aspect sentimental : ils sont guidés par des sentiments amoureux,
l’envie de construire un foyer, une famille, de s’installer dans la vie
maritale ou conjugale.
-Un aspect de développement personnel : envie de se construire, pour
avoir un ‘‘chez soi’’ à soi, et à partager entre pairs.

UNE MODALITÉ DE PASSAGE À LA VIE ADULTE?
 - PHASE D'APPRENTISSAGE À L'AUTONOMIE
La décohabitation constitue une phase transitoire qui renvoie à des notions d’appartenance, d’appropriation, et d’adaptation.
L’autonomie, ‘‘autonomos’’ en philosophie, est la faculté d’agir par
soi-même et en se donnant ses propres règles de conduite et de vie.
Elle permet une liberté intérieure, dépend d’une capacité à choisir de
son propre chef sans se laisser dominer par certaines tendances naturelles ou collectives, ni se laisser dominer par une autonomie extérieure. La notion d’autonomie est importante à intégrer dans l’idée de la décohabitation car elle va au-delà de l’indépendance. Elle implique l’appropriation, l’adaptation par le jeune, de soi, de son habitat et de son environnement. En effet, cette autonomie relative et consécutive à la décohabitation doit lui permettre de construire des normes etdes valeurs tout en prenant en compte la société dans laquelle il vit pour s’adapter à son environnement et aux personnes qui l’entourent. Le moment de la décohabitation est donc une phase d’apprentissage de l’autonomie. Selon, Catherine Villeuneuve de Gokalp, chercheur à l’Institut National d’Études Démographiques, il n’y as pas de moment précis où les jeunes quittent le domicile familial, ‘‘il est difficile de dater précisément un départ quand les jeunes quittent leurs parents progressivement, en habitant en partie chez eux, en partie ailleurs. ‘‘ La prise d’autonomie est donc progressive. Elle peut commencer avant le départ dans le foyer parental mais se concrétisera lors de l’accès au logement autonome et donc à la décohabitation. Par là même, Le processus d’accès à l’indépendance va coïncider, soit avec le ‘‘premier départ’’, lorsque l’installation est de plus de 6 mois d’affilé dans un logement distinct de celui de ses parents et qui lui permet de vivre de manière autonome; soit par la prise d‘indépendance résidentielle, par l’installation dans un logement indépendant, à sa charge, ou de son conjoint ou mis à disposition par son employeur.

CONSTRUCTION IDENTITÉS - EXPÉRIMENTATIONS
La décohabitation permet au jeune adulte, par la prise d’autonomie,
d’être de plus en plus identifié comme l’auteur de ses choix et l’acteur
de ses relations. La décohabitation va participer à la construction
identitaire. Le jeune adulte se construit donc dans l’expérimentation,
dans le tâtonnement liés à la prise d’autonomie et de son nouvel environnement. L’expérimentation de son nouveau cadre de vie, l’engage à se construire, à s’identifier comme individu propre.

LE CHEZ-SOI
Au sens strict de l’expression, le ‘‘chez-soi’’ souligne la relation entre
lien et identité. Selon Fatima Idelhaj et son mémoire sur les jeunes
adultes et leur premier logement : De la décohabitation au chez-soi, le
terme ‘‘Soi’’ exprime l’unicité de la personne, mais le terme ’’chez’’ ne
se limite pas à la multiplicité des liens dans lesquels la relation peut
s’actualiser. Le sentiment de lien ne se réduit pas au logement, mais
peut s’étendre à la sphère d’un quartier, d’une ville, d’un pays. Ainsi, le
‘‘chez-soi’’, c’est s’approprier un espace, le transformer en son bien. La décohabitation, amène la personne à exercer un contrôle sur l’espace. Le ’’chez-soi’’ en tant qu’habitat permet de disposer d’un territoire pour pouvoir maintenir une certaine distance avec autrui. Il devient un espace sécuritaire, intime et d’appropriation et permet d’asseoir son identité et de conférer à l’individu une existence sociale (insertion par le logement autonome). Comment, le jeune, s’approprie t-il son nouvel espace et comment cela participe à la construction de sa vie d’adulte? Tout d’abord c’est la dynamique d’appropriation de l’individu qui crée petit à petit l’habitat dans lequel il évolue, et cette appropriation est liée à l’expérience du lieu et à l’expression individuelle et personnelle. L’appropriation relève donc d’une affirmation identitaire de l’habitant. Le jeune engage l’espace habité dans une construction de soi qui va permettre d’asseoir sa prise d’autonomie, l’affirmation de ses choix et le passage à la vie adulte.

DIFFICULTÉS ET SOUTIEN DES PARENTS?

De nombreuses contraintes sont liées à la décohabitation. On voit de
plus en plus s’installer une logique d’appartenance familiale et une
installation des jeunes de plus en plus tardive. Il y a un maintien prolongé au domicile familial, dû aux difficultés d’intégration professionnelle età la diminution des engagements marital. Les difficultés d’intégration professionnelle, la précarisation des jeunes, le statut d’étudiant(puisque non rémunéré) sont des freins à la décohabitation, puisqu’ils ne permettent pas de gérer financièrement l’installation, le quotidien, et rendent difficile l’accès au logement.
L’entrée dans la vie adulte et la prise d’autonomie se fait donc progressivement avec le soutien des parents. En France, la décohabitation est en grande partie financée par la famille. Elle n’est pas ressentie comme une rupture par les jeunes et leurs familles, mais plutôt comme une ‘‘extension du nid’’.

SYNDROME DU NID VIDE?
Pour S.Forward, la dépendance des parents envers leurs enfants peut
provoquer lors de la décohabitation et donc du départ de l’enfant le
‘‘syndrome du nid vide’’. La séparation marque une nouvelle étape
dans leur propre vie.
DÉCOHABITATION : DE L'HABITAT AU QUARTIER

LE COMMUN / LE PUBLIC?


L’habitat renvoie à la notion de sphère intime et de sphère publique.
On est dans une ambiguïté entre le commun et le personnel. Le commun est ce qui se partage, s’échange par la parole. Il constitue ce qui appartient à tous et à chacun et renvoie à la vie dans la communauté (la cité), dans une vision d’une société ancienne. Or, à cette dernière c’est substitué une société moderne qui a pour mots clés, l’anonymat urbain, la mobilité professionnelle, le déracinement culturel, l’universalisme de la production technique et scientifique, la naissance des médias. Celle-ci à envahi le familial, donc la sphère privée et la communauté, et a profondément modifié leurs rapports. Dans le casde la décohabitation, le privé serait le lieu de l’individuel, de l’intime, le public, celui de la parentalité (dans la décohabitation juvénile), et l’infra-public celui du quartier. Francis Mauriac, écrivait : «Ce ne sont pas les pierres qui gardent l’empreintes des mains, le reflet des visages, la forme, l’ombre d’un été disparu, mais c’est le prolongement d’eux-mêmes : textures, rideaux, tapisserie, les objets et couleurs, témoin de leurs préférences et qui les voient s’asseoir, se coucher, fumer, manger, rêver...» Ainsi, les objets qui entourent notre quotidien au sein de notre espace intime sont les témoins de nos expériences, de notre appropriation de ce nouvel habitat.

L'ACCOMPAGNEMENT DU JEUNE DANS LA DÉCOHABITATION

La région Champagne-Ardenne et le CESER (Conseil Économique,
Social et Environnemental Régional) viennent de publier un rapport,
questionnant l’accès à l’autonomie des jeunes dans la région, et s’imposent comme chef de fil de l’organisation de l’habitat des jeunes
en mettant en place un schéma régional du logement des jeunes
quelque soit leurs statuts. Il préconise entre autre:
-Développer un accompagnement du jeune dans son parcours individuel social, ainsi que de manière collective (construire des projets
ensemble, autour des groupes de jeunes)
-Créer un ‘‘tutorat’’ ou un ‘‘parrainage’’ : outils et moyens à développer pour guider et accompagner les jeunes, leurs donner un appui au moment où ils évoluent ou sont en difficulté.
-S’inscrire dans un processus de ‘‘marcher à côté de’’ et non pas
‘‘faire à la place de...’’ car même si les jeunes ont besoin de liberté,
d’autonomie, ils ont aussi besoin d’une écoute, d’une guidance.

LES QUARTIERS PÉRICENTRAUX


Le péricentre constitue un lieu d’étapes importantes dans le logement
résidentiel, notamment dans la décohabitation juvénile. Une
sur-représentation de la population âgée de 19 à 32 ans s’accentue
surtout dans les faubourgs du péricentre interne. Un surplus renforcé
par la diminution progressive de la part des personnes âgées
(au delà de 68ans). Il y a donc une évolution liée à l’augmentation des
effectifs étudiants ainsi qu’à la nécessité par un grand nombre d’un
accès plus aisé sur le marché du travail. Ces évolutions amènent les
villes à se questionner sur les besoins de la population en terme de
services de proximité et de loisirs. Les quartiers périurbains ne sont
pas de vrais lieux, de vraies communautés : ce sont des dortoirs. Ce
qui pose un problème de mobilité et un manque d’infrastructures
pour les jeunes; Les quartiers péricentraux sont des espaces urbains
de transition entre le centre et la périphérie : diversité de l’habitat,
présence de services et de commerces de proximité clairement identifiés par les habitants, ce qui incite les décohabitants à s’y installer.




LES QUARTIERS PÉRICENTRAUX


Le mot d'ordre aujourd'hui tourne autour de l'individualité, mais l'utopie tend à rendre la dimension collective comme terrain d'épanouissement personnel. Créer un lien de partage et de citoyenneté permet de favoriser le dynamisme dans les quartiers et de régler les problèmes de solitude et d'isolement. La création d'un lien social à un effet de rapprochement (entre autre intergénérationnel) et sécurisant sur les quartiers.